Le 11 mars nous avons célébré 95 ans après la naissance d'Astor Piazzolla, musicien complexe qui est devenu, sans l'avoir voulu à tout prix, le roi du tango. Il y a eu des confrères qui appréciaient que ce qu'il créait n'était pas à proprement parler du tango. A ceux-là et à d'autres qui aiment obéir aux règles, qui pensent que c'est la règle qui fait la chanson, Piazzolla a donné une réponse magistrale:
"Quand on crée, il faut avoir son propre style. Sans style, il n'y a pas de musique."
J'oserais ajouter que sans style il n'y a rien, de toute façon, rien qui vaille. Rien qui reste. Il y a des créateurs qui n'ont qu'un temps. Piazzolla sera célébré jusqu'à la fin du monde.
Aujourd'hui, sur ce blog, nous allons le fêter en écoutant Chau Paris, Imperial, Oblivion - Danse et, pour la bonne bouche, le même Oblivion avec Richard Galliano.
"Quand on crée, il faut avoir son propre style. Sans style, il n'y a pas de musique."
J'oserais ajouter que sans style il n'y a rien, de toute façon, rien qui vaille. Rien qui reste. Il y a des créateurs qui n'ont qu'un temps. Piazzolla sera célébré jusqu'à la fin du monde.
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