Les Français fêtent aujourd'hui leur Journée nationale. Qui plus est, ils fêtent le centenaire de l'entrée des Etats-Unis dans la Grande Guerre (1914-1918), du côté de la Triple-Entente (la France, le Royaume-Uni et la Russie), entrée qui eut lieu en 1917. A cette occasion le Président de la République, Emmanuel Macron, a invité le Président américain au défilé traditionnel sur les Champs-Elysées. Des troupes américaines s'y produisirent aux côtés des militaires français lors du centenaire de l'entrée des Etats-Unis dans la guerre.
Jeudi soir, avant le défilé, le Président français a offert un souper en l'honneur du couple Trump, au fameux restaurant Le Jules Verne, au deuxième étage de la Tour Eiffel, un souper à la hauteur... à la hauteur de la cuisine française, à la hauteur d'Alain Ducasse - le chef cuisinier du Jules Verne - à la hauteur des hôtes. Mais Donald Trump est un Américain qui ne boude pas à table et qui mange sur le pouce, préférant les fast-foods... Ces fast-foods américains qui même en France font de la concurrence aux restaurants.
Nous avons donc un Américain à Paris, un Américain difficile à dompter, bien que jovial. Et cela se passe en pleine année Gershwin (1898-1937; en 2017 nous commémorons 80 ans après la disparition du compositeur), en plein été américain. La coïncidence est fantastique et de bon augure pour mon blog.
Donc, à cette occasion immanquable, à l'occasion de ce triple rendez-vous qui défie l'Océan, le Temps, la Mort et tout ce qui nous sépare, je vous propose d'écouter de la musique, la seule qui unit; Je vous propose Un Américain à Paris de George Gershwin, avec Leonard Berstein au pupitre.
Jeudi soir, avant le défilé, le Président français a offert un souper en l'honneur du couple Trump, au fameux restaurant Le Jules Verne, au deuxième étage de la Tour Eiffel, un souper à la hauteur... à la hauteur de la cuisine française, à la hauteur d'Alain Ducasse - le chef cuisinier du Jules Verne - à la hauteur des hôtes. Mais Donald Trump est un Américain qui ne boude pas à table et qui mange sur le pouce, préférant les fast-foods... Ces fast-foods américains qui même en France font de la concurrence aux restaurants.
Nous avons donc un Américain à Paris, un Américain difficile à dompter, bien que jovial. Et cela se passe en pleine année Gershwin (1898-1937; en 2017 nous commémorons 80 ans après la disparition du compositeur), en plein été américain. La coïncidence est fantastique et de bon augure pour mon blog.
Donc, à cette occasion immanquable, à l'occasion de ce triple rendez-vous qui défie l'Océan, le Temps, la Mort et tout ce qui nous sépare, je vous propose d'écouter de la musique, la seule qui unit; Je vous propose Un Américain à Paris de George Gershwin, avec Leonard Berstein au pupitre.
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