Aujourd'hui, dans l'après-midi, j'allumai la radio sur Romania Muzical et je fus surprise par une organisation orchestrale tout à fait ravissante. Je reconnus tout de suite que c'était du Beethoven, la Symphonie no 7, la meilleure des symphonies qu'on a jamais écrites, peut-être. Bon, mais qui était le chef d'orchestre, celui qui faisait renaître ce miracle musical? Je n'ai pas pu m'en apercevoir. J'ai pensé à Karajan, attendu que tout était parfait... Mais non. Ce que j'entendais était plus que parfait. C'était quelque chose de novateur, d'inouï, de très hardi, très énergique, émerveillant. J'ai donné ma langue aux chats et j'ai continué d'écouter.
A la fin, des applaudissements éclatèrent comme vous n'avez que rarement l'occasion de voir se produire et je pensai que tous dans la salle avaient cette impression d'avoir assisté à quelque chose d'unique. Bon, mais qui était le chef d'orchestre?
Je l'ai appris: c'était Daniel Barenboim.
Toujours dans l'après-midi j'ai écouté sur Romania Muzical la Symphonie no 4 de Brahms: superbe! Brahms et Beethoven vont de pair. Il est bon de nous rappeler que nous traversons une année Beethoven (1770-1827; le 26 mars nous avons commémoré 190 ans après sa mort et vous pouvez écouter sur ce blog, si vous cherchez le mois de mars, la Symphonie no 7, avec Karajan au pupitre) et une année Brahms (1833-1897: 120 ans après sa disparition).
A la fin, des applaudissements éclatèrent comme vous n'avez que rarement l'occasion de voir se produire et je pensai que tous dans la salle avaient cette impression d'avoir assisté à quelque chose d'unique. Bon, mais qui était le chef d'orchestre?
Je l'ai appris: c'était Daniel Barenboim.
Toujours dans l'après-midi j'ai écouté sur Romania Muzical la Symphonie no 4 de Brahms: superbe! Brahms et Beethoven vont de pair. Il est bon de nous rappeler que nous traversons une année Beethoven (1770-1827; le 26 mars nous avons commémoré 190 ans après sa mort et vous pouvez écouter sur ce blog, si vous cherchez le mois de mars, la Symphonie no 7, avec Karajan au pupitre) et une année Brahms (1833-1897: 120 ans après sa disparition).
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